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Bonjour,

Cette enquête est réalisée dans le cadre d’un travail de recherche académique, initié par une équipe de chercheurs français.

Votre avis compte beaucoup pour faire avancer cette recherche.

Les données et les résultats recueillis resteront anonymes et ne seront utilisés qu’à des fins universitaires.

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Vous êtes sur le point d’accéder à un questionnaire dans lequel des informations dites sensibles devront être renseignées. Sont considérées ici comme sensibles, toutes informations qui font référence, directement ou indirectement, à vos opinions politiques et religieuses.

Vos réponses resteront totalement anonymes, et seront exploitées uniquement dans le cadre de l’enquête. En aucun cas elles ne seront utilisées à d’autres fins.

Avant d’accéder au questionnaire et de renseigner des informations sensibles, il est nécessaire que vous acceptiez les conditions particulières de cette enquête, en cochant la case en bas de cette page.

Pour rappel, et comme pour toutes nos enquêtes, il n’y a aucune obligation de participation et il vous est tout à fait possible d’abandonner le questionnaire en cours en quittant simplement la page depuis votre navigateur.

Dans la prochaine page, nous allons vous présenter un article. 

Veuillez lire attentivement cet article svp (temps de lecture : 3 minutes environ).

Les questions qui suivront porteront sur cet article, et nous permettront notamment de contrôler que vous l'avez lu jusqu'au bout.

Changement climatique, le fléau des temps modernes ?

Mars 2020

Rédacteur

Aujourd’hui, le changement climatique constitue un défi majeur pour l’humanité. En effet, il menace plusieurs domaines de notre mode de vie, tels que notre économie, notre santé ou encore notre environnement. Bien que ces domaines risquent tous d’être violemment impactés par le changement climatique, nous porterons ici un intérêt particulier au domaine sanitaire.

Grisaille sur notre santé et notre moral ?

Imprévisible et violent le changement climatique constitue un risque majeur pour notre santé.

En effet, les aléas climatiques tels que les tempêtes et inondations favorisent le développement de nombreuses maladies comme les diarrhées infectieuses et les gastroentérites. Ces aléas risquent d’engendrer des mouvements de population qui sont d’importants vecteurs de contamination inter-humaine. En outre ces maladies risquent fort de se propager via la présence en grande quantité d’eaux souillées, ou par un contact entre homme et animal (comme les rats et autres nuisibles). À terme, les pluviosités extrêmes favoriseront le développement des hantavirus qui peuvent provoquer chez l’homme une fièvre hémorragique avec syndrome rénal et/ou un syndrome cardiopulmonaire.

Mais en plus d’être un facteur de contamination, le changement climatique peut s’avérer être une source de stress importante.

Par exemple, nous observons après le passage d’ouragans, l’apparition de syndrome de stress post-traumatique au sein de la population. Le stress post-traumatique est couplé à une forte anxiété. En l’absence de suivi psychologique, il peut se transformer en anxiété chronique et en dépression sévère. Cet aspect est non négligeable sachant qu’après une catastrophe naturelle, 20 à 50 % des victimes risquent de voir leur santé mentale s’altérer. De plus, il se pourrait que ce risque augmente avec l’apparition de phénomènes climatiques plus violents et plus fréquents.

La raréfaction des ressources vitales ?

Le changement climatique peut être la cause de l’appauvrissement de ressources indispensables, voire vitales pour l’homme.

En effet, ce changement augmente la raréfaction de l’eau salubre, en compromettant l’hygiène des individus, ce déficit peut provoquer l’apparition et la prolifération de maladies diarrhéiques (chaque année environ 600 000 enfants de moins de 5 ans en meurent). La pénurie d’eau va parfois jusqu’à provoquer la sécheresse et par conséquent amener des famines.

Justement, nous constatons une diminution de la production de ressources vitales dans de nombreuses régions démunies. Ces effets seront aggravés par l’élévation du niveau des mers, et la contamination (ou salinisation) des réserves d’eau et des terres agricoles. Globalement, il en résultera une augmentation majeure des cas de malnutrition (et dénutrition), actuellement à l’origine de 3,1 millions morts par an.

Un coup de chaud sur notre santé ?

Et pas qu’un peu ! Le changement climatique induit une hausse des températures aux conséquences parfois tragiques …

Rappelons-nous, pour exemple, que la hausse des températures favorise l’apparition de canicule qui, associée à de fortes sécheresses, constitue un phénomène climatique d’ampleur importante et qui a eu pour conséquence d’entraîner la mort de milliers de personnes. Selon une étude récente, près d’un individu sur trois dans le monde serait exposé à des vagues de chaleur potentiellement mortelles, ce chiffre pouvant passer à trois sur quatre d’ici la fin du siècle.

Mais ce n’est pas tout, la hausse des températures favorise l’expansion des insectes vecteurs de microbes infectieux. Les hivers plus tempérés augmenteraient la période d’activité et de reproduction des moustiques et des tiques, favorisant le développement et la prolifération de maladies infectieuses telles que fièvre jaune, de dengue et de leurs complications hémorragiques, à travers le globe. Le développement du moustique tigre favoriserait également l’expansion planétaire de la dengue, du Zika ou encore du Chikungunya. Grâce à ses fortes capacités d’adaptation, cette espèce de moustique serait déjà présente dans presque 80 pays, dont la France.

Au travers de ces quelques exemples, il est important de rappeler que le changement climatique constitue un risque majeur pour notre santé et que nous pouvons tous agir face à ce fléau.

NB : afin de contrôler que vous avez lu cet article jusqu'au bout, veuillez retenir le mot " Fléau " qui vous sera demandé dans la question de contrôle qui va suivre.

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Changement climatique, le fléau des temps modernes ?

Mars 2020

Rédacteur

Aujourd’hui, le changement climatique constitue un défi majeur pour l’humanité. En effet, il menace plusieurs domaines de notre mode de vie, tels que notre économie, notre santé ou encore notre environnement. Bien que ces domaines risquent tous d’être violemment impactés par le changement climatique, nous porterons ici un intérêt particulier au domaine économique.

Grisaille sur notre économie et notre société ?

Imprévisible et violent le changement climatique constitue un risque majeur pour notre système économique.

En effet, les aléas climatiques tels que les tempêtes et inondations induisent des dépenses très onéreuses. Ces phénomènes risquent d’engendrer des dégâts matériels et sanitaires coûteux pour la société (zones sinistrées, développement de maladie à endiguer, prise en charge de patients et victimes, reconstruction et adaptations de biens immobiliers, etc.). Le changement climatique, de par son coût risque fort de nous priver d’assurances, rendant les assureurs plus frileux et les contrats plus exigeants… À terme, il est possible de voir les coûts financiers du changement climatique retomber directement sur les individus.

Mais en plus d’accroître les dépenses en interne, le changement climatique provoque aussi des dépenses externes.

Par exemple, nous observons d’ores et déjà un nombre croissant de réfugiés climatiques. Le GIEC estime le nombre de réfugiés pourrait atteindre 150 millions d’ici 2050. Il se pourrait également que, d’ici 2080, selon les estimations, 75% de la population africaine risque des contraintes climatiques potentiellement mortelles, laissant entrevoir une future vague de migration massive. Ces flux migratoires sont générateurs de coûts élevés, aussi bien en termes de sécurité et surveillance des frontières, que d’accueil et soutien aux réfugiés.

La raréfaction des ressources rentables ?

Le changement climatique peut être la cause de l’appauvrissement de ressources indispensables à l’économie mondiale.

En effet, la modification ou la destruction des écosystèmes par le biais du changement climatique peut provoquer une importante onde de choc dans notre économie. Les écosystèmes produisent naturellement de la richesse (en termes de biens ou de services) qui représenterait 23 500 milliards de dollars par an, cela est deux fois plus que la richesse produite par l’humanité sur une même année. On estime d’ailleurs que 40 % de l’économie mondiale dépend directement de ces ressources.

Justement, la modification des écosystèmes nous contraint à adapter notre système agricole, qui malgré son importance stratégique, est aujourd’hui menacé. Les adaptations passent par exemple, par le déplacement des cultures, le reboisement, la lutte contre l’érosion des sols, etc. Inévitablement il en résultera des coûts d’adaptation importants si on ne veut pas voir disparaître cette activité indispensable aux sociétés humaines et qui est d’ores et déjà en souffrance.

Un coup de chaud sur notre portefeuille ?

Et pas qu’un peu ! Le changement climatique induit une hausse des températures aux conséquences parfois tragiques …

Rappelons-nous, pour exemple, que le secteur du tourisme, qui représente près de 10 % de l’activité économique mondiale, subit de plein fouet la hausse des températures ce qui a pour conséquences d’accroître les coûts et dépenses inhérents à la redistribution des flux touristiques, à la diversification des activités, à la baisse de l’enneigement, et aux adaptations des hébergements (ou leur rénovation thermique). Alors que le tourisme constitue l’un des secteurs d’activité produisant le plus d’emploi, de plus en plus de sites touristiques devront fermer boutique.

Mais ce n’est pas tout, comme précisé précédemment, l’emploi dans plusieurs secteurs d’activité est et sera affecté par le changement climatique. En considérant les moyens financiers déployés pour s’adapter au changement climatique et en considérant la restructuration de certains secteurs économiques, le marché de l’emploi se verra indubitablement impacté. En France, « précarité », « turn-over », ou encore « chômage », sont des mots que nous n’avons pas fini d’entendre.

Au travers de ces quelques exemples, il est important de rappeler que le changement climatique constitue un risque majeur pour notre système économique et que nous pouvons tous agir face à ce fléau.

NB : afin de contrôler que vous avez lu cet article jusqu'au bout, veuillez retenir le mot " Fléau " qui vous sera demandé dans la question de contrôle qui va suivre.

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Changement climatique, le fléau des temps modernes ?

Mars 2020

Rédacteur

Aujourd’hui, le changement climatique constitue un défi majeur pour l’humanité. En effet, il menace plusieurs domaines de notre mode de vie, tels que notre économie, notre santé ou encore notre environnement. Bien que ces domaines risquent tous d’être violemment impactés par le changement climatique, nous porterons ici un intérêt particulier au domaine environnemental.

Grisaille sur notre environnement ?

Imprévisible et violent le changement climatique constitue un risque majeur et catastrophique.

En effet, les aléas climatiques tels que les tempêtes et inondations induisent des dommages sur les logements et les zones d'activités impactés par ces phénomènes. Ils peuvent également engendrer des dysfonctionnements sur les réseaux (eau potable, électricité, téléphone, routes, transports) et influencer de manière directe ou indirecte toute une population. Par ailleurs, ces phénomènes risquent fort de devenir dévastateurs pour les zones forestières et pour la flore en générale. À terme ces catastrophes seront de plus en plus soudaines et violentes, les vents seront plus forts et la montée des eaux plus élevée.

Mais en plus d’accroître la violence des catastrophes, le changement climatique favorise la multiplication de celles-ci.

Par exemple, nous observons régulièrement des fleuves déborder et submerger des villes et villages à cause de fortes pluies. En effet, les modifications climatiques peuvent engendrer des pluviosités plus fréquentes et durables dans certaines régions, entraînant inondations, glissements de terrain, etc. Par ailleurs, le nombre d’ouragans, de tempêtes ou d’orages est lui aussi en nette augmentation depuis quelques années. Il se pourrait que la fréquence de ces catastrophes puisse modifier de façon radicale certains écosystèmes.

La raréfaction des ressources naturelles ?

Le changement climatique peut être la cause de l’appauvrissement de ressources indispensable à la survie de notre environnement.

En effet, la raréfaction de l’eau dans certaines régions du monde peut provoquer la disparition de la faune et de la flore via le développement de zones arides et/ou de sécheresses. Par ailleurs, la sécheresse menace de faire disparaître certaines espèces animales telles que les éléphants ou quelques races de grenouilles et crapauds. Ce phénomène croissant dans le monde est un obstacle de taille, puisqu’il menace directement l’humanité et son environnement.

Justement, l’un des risques auquel est de plus en plus confrontée l’humanité est celui des incendies. Les températures plus élevées associées à la raréfaction de l’eau et des pluies (en fonction des saisons) sont propices au développement des incendies et à l’augmentation de leur intensité. Globalement, il en résultera une multiplication des « mégas feux » similaires à ceux que nous observons actuellement en Amazonie ou en Australie.

Un coup de chaud sur notre planète ?

Et pas qu’un peu ! Le changement climatique induit une hausse des températures aux conséquences parfois tragiques …

Rappelons-nous, pour exemple, que la hausse des températures favorise la fonte record des glaces et qui a eu pour conséquence de voir disparaître plusieurs millions de kilomètres carrés de glace, dont en grande partie des glaces « anciennes » (présente depuis plus de 4 ans). Ce phénomène favorise la disparition d’espèces animales et, à terme, modifiera les courants marins qui reposent sur un équilibre entre eau douce et eau salée.

Mais ce n’est pas tout, la fonte des glaces est l’une des causes principales de l’élévation du niveau de la mer. On s’attend d’ici les 30 prochaines années à voir certaines villes portuaires, telles que Le Havre ou Marseille, être menacées par la montée des eaux. Par ailleurs, la hausse des températures n’a pas pour unique effet de faire fondre les glaces. Alors que certains seront submergés par les eaux d’autres seront contraints de fuir ou s’adapter aux zones arides.

Au travers de ces quelques exemples, il est important de rappeler que le changement climatique constitue un risque majeur pour notre environnement et que nous pouvons tous agir face à ce fléau.

NB : afin de contrôler que vous avez lu cet article jusqu'au bout, veuillez retenir le mot " Fléau " qui vous sera demandé dans la question de contrôle qui va suivre.

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Le récit narratif, art des temps modernes ?

Mars 2020

Rédacteur

Modèle incontournable du récit, ce schéma se retrouve dans la quasi-totalité des oeuvres littéraires et audiovisuelles. Bien que parfois remis au goût du jour, les codes du schéma narratif se transmettent de génération en génération et restent une grille de lecture et d’écriture phare dans la construction d’un récit. Nous allons détailler les différentes étapes du schéma narratif, ou l’art de construire une belle histoire.

Il était une fois…

Le début de l’histoire est informatif, il pose le cadre et permet de facilité sa lecture.

En effet, l’histoire commence par la « situation initiale » (ou « incipit » ou « état initial »), qui présente les éléments indispensables au bon déroulé du récit et à l’intelligibilité de celui-ci. On peut par exemple, y présenter la situation familiale, financière, amoureuse du personnage principal, ou encore les conditions dans lesquelles il évolue, son environnement, etc. Dans un récit écrit au passé, le recours à l’imparfait (pour le temps des verbes) est souvent de mise. Au cours de cette phase, la situation du héros n'évolue pas, elle demeure constante.

Mais en plus de présenter le cadre, le début de l’histoire ouvre sur les aventures à venir.

Par exemple, un personnage mystérieux peut surgir de nulle part et confier une quête importante pour le héros. Cette phase est appelée « l’élément déclencheur » (ou « élément perturbateur »). L’élément déclencheur modifie la situation initiale, il perturbe la situation stable et constante du héros et le fait sortir du commun. Cette partie débute bien souvent par un connecteur temporel. Le héros part alors à l’aventure.

Lorsque soudain…

L’histoire serait bien fade si le héros ne connaissait pas quelques complications.

En effet, les « péripéties » (ou « aventures » ou « noeuds »), sont les situations induites par l’élément perturbateur et engendrent toutes les actions menées par le personnage principal (et éventuellement ses acolytes) pour atteindre son objectif final. Dans un récit au passé, l’usage du passé simple est fréquent pour cette partie. Par ailleurs, c’est cette partie qui donne du corps au texte et qui contribue au fait que le lecteur y reste accroché.

Justement, cette phase est, de manière générale, conclue par un point culminant (ou « climax ») : c'est le point le plus haut du récit, c'est là où toute la tension et tout le suspens des aventures du héros vont finalement exploser. Il se situe, la plupart du temps, vers la fin (avant le dénouement).

Et ils vécurent heureux !

Une bonne histoire est une histoire qui sait s’arrêter. La fin est un élément important puisqu’elle incarne le moment de rupture entre le lecteur et le récit.

C’est le « dénouement » (ou « éléments de résolution »), qui met un point final aux actions et conduit à la conclusion de l’histoire. Cette phase a pour conséquence de finir l’intrigue, l’enquête, elle représente le résultat final de l’histoire. Plus précisément le dénouement est la dernière action de l’histoire, c’est celle qui met fin au problème.

Mais ce n’est pas tout, la « situation finale », (ou « explicit »), est la conclusion, la fin du récit, le retour à la stabilité et à la constance. Pour les contes, bien souvent, la situation du héros s'améliore (le schéma classique étant « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants »), mais, dans d'autres types d'histoires, par exemple des histoires d’épouvantes, il est possible que la situation se dégrade et que le héros connaisse une fin tragique.

Au travers de ces quelques étapes, il est important de rappeler que l’écriture d’une histoire est une activité importante pour stimuler notre créativité et que nous pouvons tous produire des écrits de qualité.

NB : afin de contrôler que vous avez lu cet article jusqu'au bout, veuillez retenir le mot " Créativité " qui vous sera demandé dans la question de contrôle qui va suivre.

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Pour la plupart des questions (tableaux) qui vont suivre :

Nous allons vous demander de cocher une note de 1 à 5 pour exprimer votre niveau d'accord ou de désaccord à l'égard de chacune des affirmations qui vous seront présentées, en sachant que :

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Chaque comportement peut être identifié à plusieurs niveaux. Par exemple, l’individu "X" peut décrire un comportement comme « taper un document » alors que l’individu "Y" pourrait décrire ce comportement comme « enfoncer des touches » ou comme « exprimer ses pensées ».

Nous nous intéressons à vos préférences personnelles sur la manière de décrire différents comportements.

Vous trouverez dans les pages suivantes différents comportements listés. Pour chacun de ces comportements, deux choix sont présentés : ils illustrent deux manières dont le comportement peut être identifié.

En voici un exemple :

Assister à un cours :

a. Être assis sur une chaise

b. Apprendre de nouvelles choses

Votre tâche consiste à choisir l’identification "a" ou "b" qui selon vous décrit le mieux le comportement proposé. Ne faites qu’un choix pour chaque paire. Il n’existe pas de bonne ou de mauvaise réponse. Ce sont vos préférences personnelles sur les différentes manières de décrire les comportements qui nous intéressent.

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Pour la question ci-dessous :

Pour chacune des affirmations, indiquez dans quelle mesure elle correspond à vos intentions en cochant une note de 1 à 5 :

1 = l'affirmation ne correspond pas du tout à votre intention

5 = l'affirmation correspond parfaitement à votre intention

Les notes intermédiaires (2 à 4) vous permettent de nuancer votre jugement.

Concernant maintenant votre degré d'accord ou de désaccord :

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Concernant vos opinions politiques :

Concernant vos opinions religieuses :

Concernant vos opinions religieuses :

Félicitations ! Vous êtes allé(e) jusqu'au bout de ce questionnaire :)

Malheureusement, la réponse que vous avez donnée à la question de contrôle n'est pas celle attendue.

Nous ne pouvons donc pas vous donner la possibilité de participer à ce questionnaire jusqu'à la fin. Il est essentiel, pour l'équipe de chercheurs, que tous les répondants lisent l'article attentivement jusqu'au bout. 

Merci tout de même pour votre participation.